Automne
MICHAEL SNOW - LES CORPS DES IMAGES / THE BODIES OF IMAGES
Présentation conférencier : Artiste canadien. Vit et travaille à Toronto.
Date de la conférence : Jeudi 22 septembre 2005 à 12h30
Lieu : Galerie de l’UQAM
Adresse :
Présentation de la conférence :
Pianiste de jazz dans les années 50, Michael Snow poursuit un cheminement artistique qui n’a de cesse de questionner les disciplines traditionnelles, les mécanismes de la perception et de la représentation.
Ce que Michael Snow nomme une philosophie des sens le conduit à approfondir des idées au moyen d’un ensemble de médiums visant la découverte et la production de significations diverses et prenant forme dans différents matériaux. Le vaste registre de création de Michael Snow en fait un artiste versatile abordant sans complexe la musique, le cinéma, la peinture, la sculpture, l’holographie et la production de livre.
Ses films ont été présentés dans plusieurs festivals de différents pays et font partie de grandes collections d’archives de films. Des rétrospectives des multiples facettes de sa production ont été présentées au Canada, aux États-Unis, en Europe et en Asie. Son travail fait partie de collections publiques et privées du monde entier, notamment, celles du Musée d’art moderne de New York, du Centre Georges-Pompidou de Paris, du Musée des beaux-arts et du Musée d’art contemporain de Montréal. Il s’est mérité plusieurs récompenses dont un Guggenheim Fellowship en 1975 et l’Ordre du Canada en 1982. Nous profitons de l’exposition de Michael Snow à la Galerie de l’UQAM pour inviter cet artiste prolifique de renommé à nous entretenir de sa production.
Les partenaires :
Galerie de l’UQAM
Date de la conférence : Jeudi 22 septembre 2005 à 12h30
Lieu : Galerie de l’UQAM
Adresse :
Présentation de la conférence :
Pianiste de jazz dans les années 50, Michael Snow poursuit un cheminement artistique qui n’a de cesse de questionner les disciplines traditionnelles, les mécanismes de la perception et de la représentation.
Ce que Michael Snow nomme une philosophie des sens le conduit à approfondir des idées au moyen d’un ensemble de médiums visant la découverte et la production de significations diverses et prenant forme dans différents matériaux. Le vaste registre de création de Michael Snow en fait un artiste versatile abordant sans complexe la musique, le cinéma, la peinture, la sculpture, l’holographie et la production de livre.
Ses films ont été présentés dans plusieurs festivals de différents pays et font partie de grandes collections d’archives de films. Des rétrospectives des multiples facettes de sa production ont été présentées au Canada, aux États-Unis, en Europe et en Asie. Son travail fait partie de collections publiques et privées du monde entier, notamment, celles du Musée d’art moderne de New York, du Centre Georges-Pompidou de Paris, du Musée des beaux-arts et du Musée d’art contemporain de Montréal. Il s’est mérité plusieurs récompenses dont un Guggenheim Fellowship en 1975 et l’Ordre du Canada en 1982. Nous profitons de l’exposition de Michael Snow à la Galerie de l’UQAM pour inviter cet artiste prolifique de renommé à nous entretenir de sa production.
Les partenaires :
Galerie de l’UQAM
RAYMOND BELLOUR - COUCHES D'IMAGES
Présentation conférencier : Théoricien français. Vit et travaille à Paris. Théorie de l’image, du film, du vidéo et des nouveaux médias.
Date de la conférence : Jeudi 22 septembre 2005 à 19h00
Lieu : J-M400, salle Marie-Gérin-Lajoie, pavillon Judith-Jasmin
Adresse :
Présentation de la conférence :
Directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique à Paris et fin connaisseur des productions interdisciplinaires, Raymond Bellour a acquis une grande renommée dans la sphère du cinéma et du vidéo expérimental.
Auteur de nombreux écrits il a contribué à approfondir la connaissance du cinéma avec son livre L’analyse du film (1979), dans lequel il étudie la structure narrative des films hollywoodiens sur la base des théories sémiotiques, psychanalytiques et post-structuralistes. Depuis les années 80, ses travaux sont concentrées sur le cinéma expérimental et les vidéos d’art. L’Entre-Images 2 (1999), rassemble des essais publiés entre 1988 et 1999 et interrogent le statut de l’image et ses transformations par le biais de la vidéo et de l’ordinateur. L’auteur y aborde, entre autre, le travail de Chantal Akerman, Samuel Beckett, Gary Hill, Fritz Lang, Chris Marker, Jeff Wall. Le parcours intellectuel de Raymond Bellour démontre un intérêt marqué envers la littérature et le cinéma: diverses publications sur le cinéma et la littérature, journalisme littéraire, cours de cinéma aux États-Unis et à Paris, participation à la création du Centre Parisien d’Études Critiques et, avec Serge Daney, création de la revue de cinéma Trafic en 1991.
Nous profitons du passage de Raymond Bellour au Mois de la photo à Montréal pour inviter cet éminent penseur à nous entretenir de ses recherches.
Les partenaires :
Mois de la photo de Montréal
Consulat Général de France à Québec
Date de la conférence : Jeudi 22 septembre 2005 à 19h00
Lieu : J-M400, salle Marie-Gérin-Lajoie, pavillon Judith-Jasmin
Adresse :
Présentation de la conférence :
Directeur de recherche au Centre national de la recherche scientifique à Paris et fin connaisseur des productions interdisciplinaires, Raymond Bellour a acquis une grande renommée dans la sphère du cinéma et du vidéo expérimental.
Auteur de nombreux écrits il a contribué à approfondir la connaissance du cinéma avec son livre L’analyse du film (1979), dans lequel il étudie la structure narrative des films hollywoodiens sur la base des théories sémiotiques, psychanalytiques et post-structuralistes. Depuis les années 80, ses travaux sont concentrées sur le cinéma expérimental et les vidéos d’art. L’Entre-Images 2 (1999), rassemble des essais publiés entre 1988 et 1999 et interrogent le statut de l’image et ses transformations par le biais de la vidéo et de l’ordinateur. L’auteur y aborde, entre autre, le travail de Chantal Akerman, Samuel Beckett, Gary Hill, Fritz Lang, Chris Marker, Jeff Wall. Le parcours intellectuel de Raymond Bellour démontre un intérêt marqué envers la littérature et le cinéma: diverses publications sur le cinéma et la littérature, journalisme littéraire, cours de cinéma aux États-Unis et à Paris, participation à la création du Centre Parisien d’Études Critiques et, avec Serge Daney, création de la revue de cinéma Trafic en 1991.
Nous profitons du passage de Raymond Bellour au Mois de la photo à Montréal pour inviter cet éminent penseur à nous entretenir de ses recherches.
Les partenaires :
Mois de la photo de Montréal
Consulat Général de France à Québec
MARTINE NEDDAM - MOUCHETTE
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Présentation conférencier : Artiste d’origine française. Vit et travaille à Amsterdam. Art numérique.
Date de la conférence : Jeudi 13 octobre 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Le site WEB personnel de Mouchette est construit sur la base d’un scénario interactif en ligne permettant au visiteur de développer des situations et des intrigues particulières sur la base des indices et des pistes qui lui sont offerts en pâture.
Mouchette utilise l’anonymat des internautes afin de tisser une toile de références réelles et imaginaires qui conduit le visiteur à devenir, malgré lui, complice de ses manoeuvres. Le travail de Mouchette suscite la controverse sur des questions telles le suicide, la censure ou le droit d’auteur et met de l’avant l’importance de la communication avec l’artiste.
Mouchette a reçu plusieurs prix et récompenses dont le Grand Prix d’art numérique, CYNET art à Dresde en 2001 et en 2004. Elle a participé à de nombreuses expositions et de prestigieux festivals à travers le monde notamment, Femmes d’images néerlandaises à la Maison Européenne de la Photo à Paris en 2003 et en 2002; Dead or Alive, Break Festival à Ljubljana en Slovénie; Animations, in PS1 à New York en 2001; Trust me du New Museum de New York en 2000. Pour sa conférence dans le cadre du programme ICI, Mouchette sera présentée par Martine Neddam, professeure invitée de l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM.
Présentation conférencier : Artiste d’origine française. Vit et travaille à Amsterdam. Art numérique.
Date de la conférence : Jeudi 13 octobre 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Le site WEB personnel de Mouchette est construit sur la base d’un scénario interactif en ligne permettant au visiteur de développer des situations et des intrigues particulières sur la base des indices et des pistes qui lui sont offerts en pâture.
Mouchette utilise l’anonymat des internautes afin de tisser une toile de références réelles et imaginaires qui conduit le visiteur à devenir, malgré lui, complice de ses manoeuvres. Le travail de Mouchette suscite la controverse sur des questions telles le suicide, la censure ou le droit d’auteur et met de l’avant l’importance de la communication avec l’artiste.
Mouchette a reçu plusieurs prix et récompenses dont le Grand Prix d’art numérique, CYNET art à Dresde en 2001 et en 2004. Elle a participé à de nombreuses expositions et de prestigieux festivals à travers le monde notamment, Femmes d’images néerlandaises à la Maison Européenne de la Photo à Paris en 2003 et en 2002; Dead or Alive, Break Festival à Ljubljana en Slovénie; Animations, in PS1 à New York en 2001; Trust me du New Museum de New York en 2000. Pour sa conférence dans le cadre du programme ICI, Mouchette sera présentée par Martine Neddam, professeure invitée de l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM.
GUY PELLERIN - LA COULEUR DES LIEUX
Présentation conférencier : Artiste canadien. Vit et travaille à Montréal. Peinture.
Date de la conférence : Jeudi 20 octobre 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Les tableaux de Guy Pellerin déclinent la couleur comme un modèle de conjugaison. Son travail s’inscrit dans la lignée des recherches minimalistes: méticuleuses, précises et raffinées ses installations picturales pointent le processus de fabrication de l’oeuvre, l’espace de présentation des tableaux et l’histoire inhérente à la pratique de l’art. L’architecture, la couleur des lieux et des objets auxquelles Guy Pellerin fait directement référence, les souvenirs et les impressions intimes de l’artiste tissent des chroniques particulières dont la couleur demeure le leitmotiv.
Le travail de Guy Pellerin a été présenté dans de nombreuses expositions au Canada, au Danemark, en France et aux États-Unis. Ses oeuvres font partie de plusieurs collections publiques dont celles du Musée des beaux-arts du Canada, du Musée d’art contemporain de Montréal, du Musée national des beaux-arts du Québec et du Musée de Joliette. Guy Pellerin a reçu, en 2000, le prix Louis-Comtois décerné par l’Association des galeries d’art contemporain de Montréal et en 2004, pour l’ensemble de son oeuvre, le prix Ozias-Leduc décerné par la Fondation Émile-Nelligan. Nous invitons cet artiste à nous entretenir des enjeux de sa pratique picturale.
Date de la conférence : Jeudi 20 octobre 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Les tableaux de Guy Pellerin déclinent la couleur comme un modèle de conjugaison. Son travail s’inscrit dans la lignée des recherches minimalistes: méticuleuses, précises et raffinées ses installations picturales pointent le processus de fabrication de l’oeuvre, l’espace de présentation des tableaux et l’histoire inhérente à la pratique de l’art. L’architecture, la couleur des lieux et des objets auxquelles Guy Pellerin fait directement référence, les souvenirs et les impressions intimes de l’artiste tissent des chroniques particulières dont la couleur demeure le leitmotiv.
Le travail de Guy Pellerin a été présenté dans de nombreuses expositions au Canada, au Danemark, en France et aux États-Unis. Ses oeuvres font partie de plusieurs collections publiques dont celles du Musée des beaux-arts du Canada, du Musée d’art contemporain de Montréal, du Musée national des beaux-arts du Québec et du Musée de Joliette. Guy Pellerin a reçu, en 2000, le prix Louis-Comtois décerné par l’Association des galeries d’art contemporain de Montréal et en 2004, pour l’ensemble de son oeuvre, le prix Ozias-Leduc décerné par la Fondation Émile-Nelligan. Nous invitons cet artiste à nous entretenir des enjeux de sa pratique picturale.
MICHÈLE WAQUANT
Présentation conférencier : Artiste canadienne. Vit et travaille à Paris. Vidéo, photographie, peinture, écriture.
Date de la conférence : Jeudi 3 novembre 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Les questions du temps, de la nature et du statut de l’image sont des préoccupations majeures des recherches de Michèle Waquant: images en mouvement, images fixes ou arrêtées, image commentée ou image représentée. Avec une attention portée aux situations, aux choses et aux événements apparemment anodins, Michèle Waquant restitue une vision du monde transformé par la perception, par les différents supports et médiums lui servant de surface sensible.
Le travail rigoureux, complexe et singulier de cette artiste se nourrit des déplacements d’un lieu à l’autre, des passages d’un médium à un autre et demeure réfractaire aux classifications disciplinaires.
Active sur la scène artistique nationale et internationale depuis une trentaine d’années, Michèle Waquant a longtemps été associée au premier centre de diffusion géré par un collectif d’artistes, la Chambre blanche de Québec. Elle enseigne aujourd’hui à l’École Nationales Supérieure d’Arts de Cergy (ENSA) en France.
Son travail a été diffusé au Canada, en France, en République tchèque, au Japon et en Espagne et ses vidéos ont été présentés dans de nombreux festivals internationaux. Nous profitons de son passage à Vox pour inviter cette artiste à nous entretenir de son travail.
Les partenaires :
Consulat Général de France à Québec
VOX Centre de l’image contemporaine
Date de la conférence : Jeudi 3 novembre 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Les questions du temps, de la nature et du statut de l’image sont des préoccupations majeures des recherches de Michèle Waquant: images en mouvement, images fixes ou arrêtées, image commentée ou image représentée. Avec une attention portée aux situations, aux choses et aux événements apparemment anodins, Michèle Waquant restitue une vision du monde transformé par la perception, par les différents supports et médiums lui servant de surface sensible.
Le travail rigoureux, complexe et singulier de cette artiste se nourrit des déplacements d’un lieu à l’autre, des passages d’un médium à un autre et demeure réfractaire aux classifications disciplinaires.
Active sur la scène artistique nationale et internationale depuis une trentaine d’années, Michèle Waquant a longtemps été associée au premier centre de diffusion géré par un collectif d’artistes, la Chambre blanche de Québec. Elle enseigne aujourd’hui à l’École Nationales Supérieure d’Arts de Cergy (ENSA) en France.
Son travail a été diffusé au Canada, en France, en République tchèque, au Japon et en Espagne et ses vidéos ont été présentés dans de nombreux festivals internationaux. Nous profitons de son passage à Vox pour inviter cette artiste à nous entretenir de son travail.
Les partenaires :
Consulat Général de France à Québec
VOX Centre de l’image contemporaine
JEAN-PIERRE AUBÉ
Présentation conférencier : Artiste canadien. Vit et travaille à Montréal. Installation sonore in situ, photographie.
Date de la conférence : Jeudi 10 novembre 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence :
D’abord photographe, Jean-Pierre Aubé s’intéresse aux développements de la science et plus particulièrement depuis 2000, aux phénomènes naturels tels que les perturbations du champ magnétique terrestre (la magnétosphère).
Par la fabrication de récepteurs d’ondes hertziennes de très basses fréquences (Very Low Frequencies VLF), l’artiste enregistre sur bandes sonores des phénomènes comme l’énergie du vent, les orages électriques, les aurores boréales ou les ondes imperceptibles des objets du quotidien. Ces bandes sonores récupérées des territoires isolés de la Finlande et de l’Écosse ou encore des centres urbains, sont reproduit par un savant dispositif de diffusion haute résolution qui procède par micro-analyse.
Son travail a été présenté au Canada, au Mexique, en France, en Allemagne, au Danemark et en Serbie, notamment, lors de la 11e Biennale des Arts visuels en 2004. Il a également effectué des résidences et participé à des conférences au Mexique, en France et au Canada. Nous profitons de son exposition à Optica pour inviter ce jeune artiste novateur à nous entretenir de sa production.
Les partenaires :
Centre d’art Optica
Date de la conférence : Jeudi 10 novembre 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence :
D’abord photographe, Jean-Pierre Aubé s’intéresse aux développements de la science et plus particulièrement depuis 2000, aux phénomènes naturels tels que les perturbations du champ magnétique terrestre (la magnétosphère).
Par la fabrication de récepteurs d’ondes hertziennes de très basses fréquences (Very Low Frequencies VLF), l’artiste enregistre sur bandes sonores des phénomènes comme l’énergie du vent, les orages électriques, les aurores boréales ou les ondes imperceptibles des objets du quotidien. Ces bandes sonores récupérées des territoires isolés de la Finlande et de l’Écosse ou encore des centres urbains, sont reproduit par un savant dispositif de diffusion haute résolution qui procède par micro-analyse.
Son travail a été présenté au Canada, au Mexique, en France, en Allemagne, au Danemark et en Serbie, notamment, lors de la 11e Biennale des Arts visuels en 2004. Il a également effectué des résidences et participé à des conférences au Mexique, en France et au Canada. Nous profitons de son exposition à Optica pour inviter ce jeune artiste novateur à nous entretenir de sa production.
Les partenaires :
Centre d’art Optica
JESSICA STOCKHOLDER
Présentation conférencier : Artiste américaine. Vit et travaille à New Haven (États-Unis). Sculpture, installation, collage
Date de la conférence : Jeudi 17 novembre 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Le travail de Jessica Stockholder s’inspire de caractéristiques propres à la peinture, la couleur étant un élément fondamental de sa production. Celle-ci se traduit par des installations sculpturales incluant des objets du quotidien récupérés, aux formes et aux couleurs suggestives: chaise d’enfant en plastique, papier mâché, tissu, bois, métal, corde, etc. L’équilibre entre ces éléments disparates est soigneusement orchestré, peinture et sculpture formant une étrange symbiose entre le réel, la fiction et l’abstraction. Par l’importance accordé à la structure formelle de son travail, Jessica Stockholder fait référence au courant formaliste mais non sans une pointe d’humour.
Depuis les années 80, son travail a fait l’objet de plusieurs publications et d’acquisitions publiques. Ses oeuvres ont été diffusées sur la scène internationale à New York, notammet, au Dia Center for the Arts, au Whitney Museum of American Art, à Londres, à Paris au Centre Georges-Pompidou et à la XLVIIe Biennale de Venise. Parallèlement à son travail de création, elle enseigne à l’Université de Yale aux États-Unis. Nous invitons Jessica Stockholder, artiste très active sur la scène internationale, à nous entretenir de sa pratique.
Les partenaires :
Université Concordia
Date de la conférence : Jeudi 17 novembre 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Le travail de Jessica Stockholder s’inspire de caractéristiques propres à la peinture, la couleur étant un élément fondamental de sa production. Celle-ci se traduit par des installations sculpturales incluant des objets du quotidien récupérés, aux formes et aux couleurs suggestives: chaise d’enfant en plastique, papier mâché, tissu, bois, métal, corde, etc. L’équilibre entre ces éléments disparates est soigneusement orchestré, peinture et sculpture formant une étrange symbiose entre le réel, la fiction et l’abstraction. Par l’importance accordé à la structure formelle de son travail, Jessica Stockholder fait référence au courant formaliste mais non sans une pointe d’humour.
Depuis les années 80, son travail a fait l’objet de plusieurs publications et d’acquisitions publiques. Ses oeuvres ont été diffusées sur la scène internationale à New York, notammet, au Dia Center for the Arts, au Whitney Museum of American Art, à Londres, à Paris au Centre Georges-Pompidou et à la XLVIIe Biennale de Venise. Parallèlement à son travail de création, elle enseigne à l’Université de Yale aux États-Unis. Nous invitons Jessica Stockholder, artiste très active sur la scène internationale, à nous entretenir de sa pratique.
Les partenaires :
Université Concordia
FRANCINE LARIVÉE
Présentation conférencier : Artiste canadienne. Vit et travaille à Montréal. Installation, sculpture, photographie, art public.
Date de la conférence : Lundi 21 novembre 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Le travail de Francine Larivée est un important processus d’engagement envers la matière, le lieu, l’art et ses implications sociales et culturelles. De La Chambre nuptiale à ses récentes oeuvres d’art public, en passant par la culture de mousses, la production de Francine Larivée fait montre de diverses préoccupations envers le féminisme, la nature et la réception de l’oeuvre d’art. Parfois monumentales, ses installations offrent des espaces de circulation et de communication qui interpellent le public et l’engagent à s’investir activement dans l’oeuvre.
Francine Larivée a produit de nombreuses oeuvres d’art public au Québec, notamment pour le nouveau Palais des congrès de Montréal, pour le Parc Marcelin-Wilson (Ahuntsic), dans le cadre de la Célébration du 83e anniversaire du génocide arménien, pour l’École des hautes études commerciales et le Centre des archives de Montréal. Son travail figure dans des collections privées du Canada et des États-Unis ainsi que dans des collections publiques dont celles du Musée des Beaux-Arts du Canada, du Musée d’art contemporain de Montréal et de la Banque d’oeuvres d’art du Canada. En 2002, elle a remporté le prix Victor-Martyn-Lynch- Staunton accordé par le Conseil des arts du Canada. Nous profitons de son exposition à Plein sud pour inviter cette artiste à nous entretenir de ses dernières productions.
Les partenaires :
Galerie Plein Sud
Date de la conférence : Lundi 21 novembre 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Le travail de Francine Larivée est un important processus d’engagement envers la matière, le lieu, l’art et ses implications sociales et culturelles. De La Chambre nuptiale à ses récentes oeuvres d’art public, en passant par la culture de mousses, la production de Francine Larivée fait montre de diverses préoccupations envers le féminisme, la nature et la réception de l’oeuvre d’art. Parfois monumentales, ses installations offrent des espaces de circulation et de communication qui interpellent le public et l’engagent à s’investir activement dans l’oeuvre.
Francine Larivée a produit de nombreuses oeuvres d’art public au Québec, notamment pour le nouveau Palais des congrès de Montréal, pour le Parc Marcelin-Wilson (Ahuntsic), dans le cadre de la Célébration du 83e anniversaire du génocide arménien, pour l’École des hautes études commerciales et le Centre des archives de Montréal. Son travail figure dans des collections privées du Canada et des États-Unis ainsi que dans des collections publiques dont celles du Musée des Beaux-Arts du Canada, du Musée d’art contemporain de Montréal et de la Banque d’oeuvres d’art du Canada. En 2002, elle a remporté le prix Victor-Martyn-Lynch- Staunton accordé par le Conseil des arts du Canada. Nous profitons de son exposition à Plein sud pour inviter cette artiste à nous entretenir de ses dernières productions.
Les partenaires :
Galerie Plein Sud
Hiver
CLARA GUTSCHE
Présentation conférencier : Artiste canadienne. Vit et travaille à Montréal. Photographie.
Date de la conférence : Jeudi 10 février 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Figure majeure de la photographie documentaire au Québec, Clara Gutsche a réalisé au cours des années 90 une série consacrée aux couvents et aux soeurs cloîtrées du Québec se faisant ainsi remarquer par l’empathie qu’elle développe avec ses sujets. Pour ce projet, elle s’approprie l’histoire religieuse québécoise qu’elle représente à l’intérieur de compositions géométriques et symétriques où la couleur joue un rôle dynamique.
Ses productions récentes circulent dans de nombreux musées au Canada, aux États-Unis et en Europe, notamment, au CCA et au Musée canadien de la photographie contemporaine à Ottawa. Sa pratique a fait l’objet de nombreuses publications et plusieurs de ses oeuvres se retrouvent dans de grandes collections. C’est à l’occasion de son exposition à la galerie Vu (du 18 février au 20 mars), de sa participation à l’exposition Comment devenir artiste à la Maison de la culture du Plateau-Mont-Royal et au Musée des maîtres et artisans du Québec (jusqu’au 23 janvier) que nous invitons cette artiste à nous parler de son travail.
Les partenaires :
Doctorat en études et pratiques des arts de l’UQAM
Date de la conférence : Jeudi 10 février 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Figure majeure de la photographie documentaire au Québec, Clara Gutsche a réalisé au cours des années 90 une série consacrée aux couvents et aux soeurs cloîtrées du Québec se faisant ainsi remarquer par l’empathie qu’elle développe avec ses sujets. Pour ce projet, elle s’approprie l’histoire religieuse québécoise qu’elle représente à l’intérieur de compositions géométriques et symétriques où la couleur joue un rôle dynamique.
Ses productions récentes circulent dans de nombreux musées au Canada, aux États-Unis et en Europe, notamment, au CCA et au Musée canadien de la photographie contemporaine à Ottawa. Sa pratique a fait l’objet de nombreuses publications et plusieurs de ses oeuvres se retrouvent dans de grandes collections. C’est à l’occasion de son exposition à la galerie Vu (du 18 février au 20 mars), de sa participation à l’exposition Comment devenir artiste à la Maison de la culture du Plateau-Mont-Royal et au Musée des maîtres et artisans du Québec (jusqu’au 23 janvier) que nous invitons cette artiste à nous parler de son travail.
Les partenaires :
Doctorat en études et pratiques des arts de l’UQAM
MICHEL DAIGNEAULT
CHRISTOF MIGONE - ANALPHABÊTE
Présentation conférencier : Artiste canadien d’origine suisse. Vit et travaille à Montréal.
Date de la conférence : Jeudi 24 février 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Artiste multidisciplinaire, Christof Migone développe sa création et ses recherches autour du son et de l’image provenant du corps en performance, afin de prospecter de nouvelles formes poétiques.
Dans un esprit lyrique, il réalise des enregistrements sonores et visuels où toutes les formes de langage se transforment en une symphonie de non-sens pouvant s’apparenter au chaos. Figure important dans le milieu culturel des nouveaux médias, il est un membre fondateur du centre d’art audio Avatar à Québec. Plusieurs de ses installations et de ses performances ont été présentées sur la scène internationale. Il a réalisé plusieurs enregistrements de disque et s’est investi au sein de collaborations artistiques avec, notamment, Lynda Gaudreau, Tammy Forsythe, Gregory Whitehead, Martin Tétreault, Alexandre St-Onge et Michel F. Côté.
En plus de poursuivre des études au doctorat au département de « Performance Studies » de l’Université de New York, il est corédacteur en chef de Writing Aloud: The Sonics of Language. Il a publié récemment La première phrase et le dernier mot au édition Quartanier de Montréal et c’est à l’occasion du lancement de sa monographie Sound Voice Perform que nous invitons cet artiste, afin qu’il nous entretienne de son parcours artistique et de sa pratique.
Les partenaires :
Doctorat en études et pratiques des arts de l’UQAM
Date de la conférence : Jeudi 24 février 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Artiste multidisciplinaire, Christof Migone développe sa création et ses recherches autour du son et de l’image provenant du corps en performance, afin de prospecter de nouvelles formes poétiques.
Dans un esprit lyrique, il réalise des enregistrements sonores et visuels où toutes les formes de langage se transforment en une symphonie de non-sens pouvant s’apparenter au chaos. Figure important dans le milieu culturel des nouveaux médias, il est un membre fondateur du centre d’art audio Avatar à Québec. Plusieurs de ses installations et de ses performances ont été présentées sur la scène internationale. Il a réalisé plusieurs enregistrements de disque et s’est investi au sein de collaborations artistiques avec, notamment, Lynda Gaudreau, Tammy Forsythe, Gregory Whitehead, Martin Tétreault, Alexandre St-Onge et Michel F. Côté.
En plus de poursuivre des études au doctorat au département de « Performance Studies » de l’Université de New York, il est corédacteur en chef de Writing Aloud: The Sonics of Language. Il a publié récemment La première phrase et le dernier mot au édition Quartanier de Montréal et c’est à l’occasion du lancement de sa monographie Sound Voice Perform que nous invitons cet artiste, afin qu’il nous entretienne de son parcours artistique et de sa pratique.
Les partenaires :
Doctorat en études et pratiques des arts de l’UQAM
SYLVIE COTTON
Présentation conférencier : Artiste canadienne. Vit et travaille à Montréal.
Date de la conférence : Jeudi 17 mars 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Le travail de Sylvie Cotton combine la pratique de la performance et de l’installation où elle entreprend de rencontrer personnellement les spectateurs. Le public est ainsi convié à participer de manière active à ses projets et à son processus de création.
Par l’intermédiaire de la photographie, du dessin et de l’écriture, elle investit les espaces privés ou publics et tente de mettre en cause diverses situations dans lesquelles l’art se confronte au quotidien.
Sylvie Cotton a présenté son travail dans de nombreux festivals et événements au Canada, aux États- Unis, en Finlande, en Estonie, en Espagne et au Japon. Elle est également l’auteure de plusieurs textes, catalogues et magazines et collabore régulièrement à la revue ESSE art + opinions. C’est à l’occasion de sa participation à l’événement Trafic (du 25 mai au 26 juin) que nous invitons cette artiste, fortement impliquée dans le milieu de l’art montréalais, à nous entretenir des multiples facettes de sa pratique artistique.
Les partenaires :
Doctorat en études et pratiques des arts de l’UQAM
Date de la conférence : Jeudi 17 mars 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Le travail de Sylvie Cotton combine la pratique de la performance et de l’installation où elle entreprend de rencontrer personnellement les spectateurs. Le public est ainsi convié à participer de manière active à ses projets et à son processus de création.
Par l’intermédiaire de la photographie, du dessin et de l’écriture, elle investit les espaces privés ou publics et tente de mettre en cause diverses situations dans lesquelles l’art se confronte au quotidien.
Sylvie Cotton a présenté son travail dans de nombreux festivals et événements au Canada, aux États- Unis, en Finlande, en Estonie, en Espagne et au Japon. Elle est également l’auteure de plusieurs textes, catalogues et magazines et collabore régulièrement à la revue ESSE art + opinions. C’est à l’occasion de sa participation à l’événement Trafic (du 25 mai au 26 juin) que nous invitons cette artiste, fortement impliquée dans le milieu de l’art montréalais, à nous entretenir des multiples facettes de sa pratique artistique.
Les partenaires :
Doctorat en études et pratiques des arts de l’UQAM
DIANE LANDRY
Présentation conférencier : Artiste canadienne. Vit et travaille à Québec et en Californie
Date de la conférence : Jeudi 24 mars 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : L’oeuvre de Diane Landry se caractérise par une fascination pour les objets banals qu’elle puise dans notre quotidien. Avec un esprit ludique et ironique, elle falsifie les objets en leur greffant des mouvements, des sons, des lumières et des odeurs. Elle réalise des mécanismes rudimentaires qui réinterprètent, à l’aide de mise en mouvement simple, le sens des objets.
Son travail a été présenté au Canada, aux États-Unis, en Europe, en Amérique du Sud et au Mexique. Diane Landry a reçu, en 2003, le Prix du rayonnement international décerné par le Conseil de la culture des régions de Québec et de Chaudière-Appalaches. Elle a effectué plusieurs résidences d’artiste dans divers pays. Parallèlement à ses recherches en sculpture, elle poursuit son travail d’action et de performance. C’est à l’occasion de son exposition à la galerie Esthésio. Art contemporain (25 mars au 17 avril 2005) et de son exposition à Oboro (septembre, 2005) que nous invitons cette artiste à nous entretenir de son travail.
Les partenaires :
Centre d’art Oboro
Doctorat en études et pratiques des arts de l’UQAM
Date de la conférence : Jeudi 24 mars 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : L’oeuvre de Diane Landry se caractérise par une fascination pour les objets banals qu’elle puise dans notre quotidien. Avec un esprit ludique et ironique, elle falsifie les objets en leur greffant des mouvements, des sons, des lumières et des odeurs. Elle réalise des mécanismes rudimentaires qui réinterprètent, à l’aide de mise en mouvement simple, le sens des objets.
Son travail a été présenté au Canada, aux États-Unis, en Europe, en Amérique du Sud et au Mexique. Diane Landry a reçu, en 2003, le Prix du rayonnement international décerné par le Conseil de la culture des régions de Québec et de Chaudière-Appalaches. Elle a effectué plusieurs résidences d’artiste dans divers pays. Parallèlement à ses recherches en sculpture, elle poursuit son travail d’action et de performance. C’est à l’occasion de son exposition à la galerie Esthésio. Art contemporain (25 mars au 17 avril 2005) et de son exposition à Oboro (septembre, 2005) que nous invitons cette artiste à nous entretenir de son travail.
Les partenaires :
Centre d’art Oboro
Doctorat en études et pratiques des arts de l’UQAM
JULIE-ANDRÉE T.
Présentation conférencier : Artiste canadienne. Vit et travaille à Montréal. Performance, installation.
Date de la conférence : Jeudi 31 mars 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Les actions de Julie Andrée T. soumettent le corps en défiant les lois de la gravité et de la perspective afin de nous obliger à revoir nos schèmes de perception. C’est à l’intérieur de ses propres installations qu’elle réalise ses performances chorégraphiques qui repoussent les limites corporelles à l’extrême. Elle se joue des rituels du quotidien et introduit la poésie du geste dans une remise en question de nos habitudes.
Son travail a été présenté au Canada, en Europe et en Asie. Elle a créé deux installations scénographiques pour le chorégraphe Benoit Lachambre et a collaboré avec Jacob Wren et PME (théâtre expérimental), ainsi qu’avec Xavier Le Roy. Elle a également signé l’installation de Confort et complaisance de la compagnie par b.l.eux. Nous profitons de son exposition au Centre des arts actuels SKOL (du 15 avril au 14 mai) pour l’inviter à nous entretenir de son installation et des performances qui y auront lieu.
Les partenaires :
Centre des arts actuels SKOL
Date de la conférence : Jeudi 31 mars 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Les actions de Julie Andrée T. soumettent le corps en défiant les lois de la gravité et de la perspective afin de nous obliger à revoir nos schèmes de perception. C’est à l’intérieur de ses propres installations qu’elle réalise ses performances chorégraphiques qui repoussent les limites corporelles à l’extrême. Elle se joue des rituels du quotidien et introduit la poésie du geste dans une remise en question de nos habitudes.
Son travail a été présenté au Canada, en Europe et en Asie. Elle a créé deux installations scénographiques pour le chorégraphe Benoit Lachambre et a collaboré avec Jacob Wren et PME (théâtre expérimental), ainsi qu’avec Xavier Le Roy. Elle a également signé l’installation de Confort et complaisance de la compagnie par b.l.eux. Nous profitons de son exposition au Centre des arts actuels SKOL (du 15 avril au 14 mai) pour l’inviter à nous entretenir de son installation et des performances qui y auront lieu.
Les partenaires :
Centre des arts actuels SKOL
GUNILLA JOSEPHSON
Présentation conférencier : Artiste canadienne. Vit et travaille à Toronto. Vidéo, installation, sculpture.
Date de la conférence : Jeudi 7 avril 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Les installations vidéographiques et sculpturales de Gunilla Josephson mettent en doute les mythes et les symboles qui structurent notre société, notre culture et son histoire.
Grandement influencées par le cinéma et les beaux-arts, ses fictions documentaires abordent des thèmes connotés qui génèrent des interrogations sur l’identité, la transformation et la mort. Au-delà de la séduction de leurs aspects ludiques, ses mises en scène théâtrales réussissent à créer des tensions psychologiques en brouillant les points de repère et l’ordre établi.
Ses réalisations ont été présentées dans plusieurs festivals et événements au Canada et en Europe ainsi qu’en Angleterre et en Allemagne. Gunilla Josephson reçoit, en 2001, le Prix de l’International Short Film Festival Oberhausen d’Allemagne pour son vidéo Hello Ingmar. Récipiendaire d’une subvention du Programme de résidences internationales en arts visuels du Conseil des arts du Canada, elle occupe le Studio de la Cité Internationale des Arts de Paris en 2003. Au mois d’octobre dernier, ses oeuvres ont été présentées au Centre culturel canadien de Paris. Lors de cette conférence, Gunilla Josephson effectuera une analyse de son film The Blood-red heart of Johanna Darke.
Les partenaires :
Centre d’art Oboro
Date de la conférence : Jeudi 7 avril 2005 à 12h30
Lieu : R-M110, Pavillon des Sciences de la gestion
Adresse : 315, rue Sainte-Catherine Est
Présentation de la conférence : Les installations vidéographiques et sculpturales de Gunilla Josephson mettent en doute les mythes et les symboles qui structurent notre société, notre culture et son histoire.
Grandement influencées par le cinéma et les beaux-arts, ses fictions documentaires abordent des thèmes connotés qui génèrent des interrogations sur l’identité, la transformation et la mort. Au-delà de la séduction de leurs aspects ludiques, ses mises en scène théâtrales réussissent à créer des tensions psychologiques en brouillant les points de repère et l’ordre établi.
Ses réalisations ont été présentées dans plusieurs festivals et événements au Canada et en Europe ainsi qu’en Angleterre et en Allemagne. Gunilla Josephson reçoit, en 2001, le Prix de l’International Short Film Festival Oberhausen d’Allemagne pour son vidéo Hello Ingmar. Récipiendaire d’une subvention du Programme de résidences internationales en arts visuels du Conseil des arts du Canada, elle occupe le Studio de la Cité Internationale des Arts de Paris en 2003. Au mois d’octobre dernier, ses oeuvres ont été présentées au Centre culturel canadien de Paris. Lors de cette conférence, Gunilla Josephson effectuera une analyse de son film The Blood-red heart of Johanna Darke.
Les partenaires :
Centre d’art Oboro